
Les quelques pistes de réflexion que nous propose le premier épisode sont peu étayées mais sympathiques, à savoir les concessions et les risques qu'il faut accepter pour pouvoir vivre de son art au Japon, m'est avis que ça ne doit pas être une chose facile.
Je passerai l'histoire sentimentale à l'eau de rose qu'on nous offre dans l'introduction, n'étant je l'espère qu'un simple prétexte à notre entrée dans l'univers du manga : les choses sérieuses commencent normalement à l'épisode suivant.
Je ne pourrais pas dire si l'on risque la dérivation nekketsu (avec l'adversaire mangaka de la mort voulant conquérir le monde avec ses pinceaux) ou si Bakuman choisira une voie plus crédible en nous dépeignant une réalité du secteur dure et sans concession : peut-être que ceux ayant lu le manga ont déjà des éléments de réponse.