Et du coup je loupe mon résonnement parceque je ne sais plus où il a écrit que le manga permettait un accomplissement parce qu'on maîtrise totalement un sujet (marche pour la connaissance culturelle du Japon). Enfin, ça marche aussi pour la collection d'objet (notamment les posters et figurines qui sont la preuve qu'on a bien compris la dite série).1) la volonté de puissance : maîtriser en possédant ou en apprenant des choses)
2) le besoin d’accomplissement : vivre des situations gratifiantes, fût-ce par procuration
3) le besoin de sécurité : retrouver des situations familières et plaisantes
4) le besoin d’excitation : rechercher des émotions ou des situation générateurs de poussée
d’adrénaline
5) le besoin d’évasion : s’abstraire d’un quotidien peu gratifiant ou stressant)
6) le besoin de distinction : se sentir différent et supérieur aux autres d’une manière ou d’une
autre.
Je préfère le point de vue de quelqu'un qui a vécu 15 ans au Japon entre 1975 et 1990 (bien que selon wikipédia, il ne lit pas le japonais), qui propose des formations sur le manga pour le personnel des bibliothèques publiques (source), invité lors d'un évènement à Nantes (ou ici, mais sa conférence n'a pas de rapport explicite avec le manga) et qui participe à la conception d'exposition sur le manga à Paris, ce qui en fait un des spécialiste français du manga et du Japon. Des sociologues ou des psychologues qui appliquent leurs théories sur n'importe quel sujet d'étude sans en connaître l'histoire, trés peu pour moi.Theotenai a écrit:Si tu veux trouver des études sur l'impact psychologique ou comportemental du manga, ou les manques psychologiques que vient combler le fanboyisme, va chercher chez des psychologues ou des sociologues, mais pas chez un historien économiste
Theotenai a écrit:Et ton propre esprit critique là-dedans ? Tu te retrouves dans ses fameux "6 besoins psychologiques fondamentaux du plaisir" ?
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