Bon, au moins Jules comprend mon intention lorsque je compare l'article à une page Wikipédia, c'est le principal

Mon avis personnel sur la licence Patlabor est assez inexistant. Lorsqu'il y a deux ans j'ai assisté à une rétrospective Patlabor, j'ai compris que c'était quelque d'important, sinon d'historique. Premier film du studio, Ce n'est pas de l'anecdote, c'est certain. Mais un festival n'est pas le meilleur endroit pour tirer quelque chose qu'on découvre. Je ne sais plus si j'ai vu les deux films ou seulement l'un des deux. J'ai le souvenir de quelque chose loin d'être révolutionnaire en soit, mais j'imagine volontiers que si on remet le contexte en place, cette série peut avoir une place particulière.
La fiche Wikipédia de
Mamoru Oshii décrit Patlabor comme une période de sa carrière. De même le livre de Julien Sévéon référence à part égal GITS et Patlabor, tout au long des 270 pages de l'ouvrage thématique. Je n'ai pas lu ce livre pour en donner un retour, mais je retiens que Patlabor est vraiment une étape, à ne pas ignorer.
Pour Kenji Kamiyama, on le voit certes pour la dernière fois en 2012 avec
009 Re:Cyborg, mais pourquoi parler de lui au passé ? À voir ses interviews de 2013, il n'avait pas l'air d'être à court de projet.
À propos de l'identité d'un studio, je suis intéressé de voir des exemples de l'envergure de Production IG. J'ai en tête que le modèle des entreprises asiatiques est l'expansion horizontale, se diversifiant à l'absurde, ce qui expliquerait la grande durée de vie de ces entités de manière générale. Si un studio garde une identité reconnaissable, je me dis que c'est seulement à la condition de rester petit. J'attends donc les prochaines chroniques
