Re: Au ciné cette semaine
Posté: 02 Avr 2017 14:48
Ghost in the shell (?) 2017
C'est un remake américanisé hybridé avec des morceaux du film d'animation insérés au forceps, le tout dans un univers blade-runnerisé du pauvre au cosmopolitisme incohérent qui jure plus qu'autre chose, et une ambiance bricolée à coup d'OST Mass Effect sans parvenir à nous happer. Hélas, le film peine à proposer des scènes d'actions excitantes nous faisant pleinement profiter de ces héros augmentées connectés au cyberspace-blabla.
J'aimerais vous renvoyer sur un excellent article des Inrocks qui contient son lot de spoils. La déclaration d'amour au film 1995 qu'on devine en filigrane a forcément résonné en moi, mais il ne s'agit pas de nostalgie. Le mot déception ne suffit pas à caractériser le scénario du film de Rupert Sanders.
Ma vie.com: le film a commencé en 2D et quelqu'un s'est levé pour s'en plaindre. On s'est donc retapé le prologue alors que personne dans la salle ne voulait cette 3D gadget qu'on cesse de percevoir au bout de 10 minutes et qui sous-expose l'image de façon parfois catastrophique (mais pas dans ce film).
C'est un remake américanisé hybridé avec des morceaux du film d'animation insérés au forceps, le tout dans un univers blade-runnerisé du pauvre au cosmopolitisme incohérent qui jure plus qu'autre chose, et une ambiance bricolée à coup d'OST Mass Effect sans parvenir à nous happer. Hélas, le film peine à proposer des scènes d'actions excitantes nous faisant pleinement profiter de ces héros augmentées connectés au cyberspace-blabla.
J'aimerais vous renvoyer sur un excellent article des Inrocks qui contient son lot de spoils. La déclaration d'amour au film 1995 qu'on devine en filigrane a forcément résonné en moi, mais il ne s'agit pas de nostalgie. Le mot déception ne suffit pas à caractériser le scénario du film de Rupert Sanders.
Ma vie.com: le film a commencé en 2D et quelqu'un s'est levé pour s'en plaindre. On s'est donc retapé le prologue alors que personne dans la salle ne voulait cette 3D gadget qu'on cesse de percevoir au bout de 10 minutes et qui sous-expose l'image de façon parfois catastrophique (mais pas dans ce film).