D'accord avec toi sur ce point.corbak a écrit:Déja la violence et le sex sont omni-présents ce qui le promet à un lectorat plus agé.
Par contre là, excuse moi, mais aucun rapport. il n'y a nullement besoin d'avoir des connotations de bien ou de mal, ni même d'avoir un héro ou un anti-héro pour avoir à faire à un seinen.corbak a écrit:Ensuite au niveau de l'histoire il n'y a ni bien ni mal. Absolument aucune morale. Il n'y a pas de gentil ni de méchant, ils doivent tuer et voila mais à aucun moment on parle de héro si ce n'est quand il décide de sauver d'autre personnes.
corbak a écrit:Et si dans la forme on voit le meurtre et le sex d'une façon tres crue dans le fond Gantz est une critique direct de la société Japonaise. Tout a était fait pour placer la cruauté humaine et l'hypocrise au premier plan. J'en veux pour les exemples les toutes premières page du premier tome :
Un clodo tombe sur les rails, les gens font semblant de s'inquiéter parce que personne ne va l'aider mais au fond ils sont tous exité car peut être vont-ils voir devant leurs yeux un type se faire déchiqueter par un train.
Et voilà l'erreur classique de faire une généralité d'un simple fait. Si Gantz démarre telle une critique sociale, j'ai trouvé que cette substance s'évapore assez rapidement pour laisser place à de gros stéréotypes (le bellâtre héroique, le frustré, les yakuzas etc etc...).
Bon je n'ai lu que jusqu'au tome 12, mais j'ai peine à croire que la suite se veuille radicalement différente. Si tel s'avérait être le cas, mea culpa d'avance.