Lady Anna a écrit:Attention ce drama est une drogue : quand on le commence on ne peut plus s'arrêter !! Heureusement c'est bientôt le week-end !
aaahhh!!!tu m'étonne!!!
j'ai pas eu le temps ce week end, donc j'ai repris à l'épisode 6 ce matin....j'ai failli pas aller travailler tellement j'étais à fond!!!!
au début, c'est juste original, mais à partir de l'épisode 6!wow! le suspens s'envolle c'est trop!!!
EDIT: j'ai fini ce matin
Je suis extrèmement déçue par le dernier épisode.....mais bon
Dans l'ensemble.
J'ai été séduite en parti aussi grâce à une bande son particulièrement interressante, qui compte notament Right here, right now de Fat boy slim, mais aussi le thème principal de requiem for a dream.
L'intrigue est très bien menée, elle va crescendo au fur et à mesur des épisodes. Les tous premiers sont assez niais à l'image de l'héroïne dont c'est le principal trait de caractère. Mais il fallait oser articuler toute une histoire sur la naïveté d'un seul et même personnage. Bien qu'au premier abord on puisse avoir peur non seulement de s'ennuuyer et de tourner en rond, mais surtout d'en venir à detester ce personnage principal (un peu même genre que Pacifica Cassull de Scrapped Princess). Au contraire on s'attache à elle et à son protecteur (plus encore quand on est une fille, vu qu'il faut le dire, Akyama est interprété par Matsuda Shota (Sojirou dans Hana Yori Dango) qui est plutôt beau gosse, il faut le reconnaitre...)
De plus, pour les fans de bons acteurs, on doit bien reconnaitre à Erika Toda qu'elle fait ici un remarquable travail d'interpretation, souvenons nous que les rôles d'idiots sont les plus difficiles.
Les deux acteurs principaux sont donc assez bons pour nous permettre de croire en cette histoire à première vue absurde, mais si on y réflechi, pas tant que ça.
Bien que Matsuda manque par moment de crédibilité lorsqu'il dépeint le côté torturé de son personnage, son côté autain est lui à l'épreuve de toute critique. Quelques personnages secondaires attirent aussi l'attention, bien que de manière plus discrète, cependant, il y a un peu trop de tête à claque parmis les protagonistes. Sont ils présents en guise de faire-valoir? peut être, mais au bout d'un temps, ça fatigue. Heureusement, pour palier à cette répétition(effet qui ne dure pas plus de deux épisodes, heureusement), l'épisode 10 est un chef d'oeuvre. Matsuda y est au summum de son interpretation, il y a visiblement enfin compris comment interprèter de façon juste une personne toturée, son jeu est parfait, magnifique. La musique contribue à cet effet fabuleux (c'est à ce moment qu'il y a le mmorceau de requiem for a dream, et ça colle parfaitement avec l'atmosphère)
On se met alors à espèrer un final époustouflant, et là, c'est le drame! le scénario retombe. Mais plus que le scénario, c'est le montage qui vient handicaper cette superbe série: le onzième et dernier épisode dure 2h30, dont 50minutes de rappel des évènements, et ceux depuis le premier épisode, puis presque 30 minutes d'explications complètements inutiles concernants certains évènements. Pas particulièrement utile, et surtout mal fait, avec l'apparition d'un nouveau personnage qui en fait, n'apporte vraiment pas grand chose, et pardessus tout: extrèmement lent.Le rythme de toute la série est complètement anéantie par ce dernier épisode. Une fin complètement baclée et pas loin d'être en os de boudin. Alors je sais que beaucoup aiment les fins ouvertes, mais ce n'est pas mon cas. 2h30 pour en arriver là, bof, j'aurais mieux fait de m'arrêter au 10.
Ma note 7.5/10(ben oui, le onzième a fait perdre beaucoup de points.)