Ponyo! Ponyo! Ponyo! Sakana no ko! Aoiiiii umiiii kara yatte kitaaaa!
( excusez-moi. J'arrête là pour le karaoké)
Ponyo sur la falaise, c'est l'histoire d'une drôle de petite "poissonne", qui, après s'être un peu trop éloigné de sa maison à la faveur d'une sieste à dos de méduse, se retrouve la tête au fond du bocal.
Vous connaissez peu ou prou la suite: Petite Ponyo est sauvée d'une asphyxie certaine par l'A-DO-RABLE Sosûké (et j'insiste sur l"'adorable". Des petits garçons mignons et polis comme ça, ça n'existe plus de nos jours), et tombe amoureuse de lui.
Mais le papa de Ponyo (ou Brunehilde ) ne l'entend pas de cette oreille là, et déchaîne l'océan pour récupérer son bébé, qui a gagné quelques pattes dans l'aventure...
La suite au cinéma...
Miyazaki (père) me ravit (again) avec ses maaaaarveilleux paysages, ses maaaaarveilleuses couleurs, son aniiiiim' au top, Joe aux platines (piano, orchestre, blah, j'aurais cette MAUDITE chanson dans la tête jusqu'à ma mort), des gamins tellement kawaï que tu les enlèverais de l'écran pour les mettre dans ta vraie vie à toi si tu pouvais, des papas possessifs et empotés, des mamans merveilleuses et des mamies espiègles...
Du Miyazaki, donc
Je tempère cependant:
Ponyo est très, très "enfant". J'ai d'ailleurs emmené mon petit cousin (4ans) à la projo, il a encore plus grave kiffé que moi (en mode "Zaime vraiment bien Ponyo tu sais, mais son papa il fait un peu peur et puis je suis amoureux de sa maman et la vilaine Mamie on aurait dit Mamie et puis et puis et puis...")
MAIS! J'aurais aimé un peu plus de sérieux et de violence, un peu plus de princesse Mononoké et de Porco Rosso...
Allez y quand même, hein
Et pour finir, un "fanart":
Spoiler :
C'était Ponyo, voilà, ruez-vous au cinéma maintenant !