



autant le fait que migi est une allégorie de dieu je suis pas vraiment d'accord et y'a rien qui m'amène à le voir de cette façon



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). Mais encore une fois c’est loin d’être l’aspect le plus important de l’histoire.
 Mais encore une fois c’est loin d’être l’aspect le plus important de l’histoire. ).
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 La fin me va tres bien et perso j'aime me poser des questions et reflechir aux zones d'ombre
 La fin me va tres bien et perso j'aime me poser des questions et reflechir aux zones d'ombre 



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 ). . En même temps, il n'y a que les jeux qui font vivre le forum en ce moment, quasiment. C'est démotivant. Et je commences à peine à revoir des animes qui donnent envie d'en parler...
 . En même temps, il n'y a que les jeux qui font vivre le forum en ce moment, quasiment. C'est démotivant. Et je commences à peine à revoir des animes qui donnent envie d'en parler...



Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception


 
 
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception

entre le romantisme (qui inclut le naturalisme, mais pas seulement)
Je... quoi ?Je n'aime pas ce côté trop naturaliste de ce surréalisme qui ne vire pas dans la folie douce qu'est la vision artistique.

Yartrub a écrit:Je pourrais développer très longuement sur tous ces aspects, car au final se sont plus les mots d'une synthèse.
 Je revois ma copie un peu plus tard, promis.
 Je revois ma copie un peu plus tard, promis.de se contenter de juxtaposer pêle-mêle des noms de romans
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception


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Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception


Alors qu’il tournait son film, Yamazaki Takashi s’est repenché sur la question : pourquoi Hollywood n’a-t-il pas donné suite à son projet d’adaptation de Parasite ?
YAMAZAKI Je dirais peut-être le manque de distinction nette entre le bien et le mal. L’histoire est difficile à accepter dans le cadre d’une pensée chrétienne. Au Japon, pays de culture polythéiste, il n’y a aucune difficulté à concevoir les parasites comme des divinités supérieures à l’homme. Maintenir l’ambiguïté sur qui sont les bons, qui sont les méchants, ou faire apparaître les deux aspects présents dans tout individu, c’est difficile à comprendre pour des Américains, semble-t-il.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception

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