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AKIRA

MessagePosté: 25 Jan 2014 22:33
par Kenji Shinoda

Image
Akira
アキラ


Etonannt qu'il n'y ait pas de sujet qui n'ait déjà été créé sur Akira.

Je partage l'avis unanime en ce qui concerne la prouesse graphique de cet anime que cela représentait pour l'époque. Le style du chara-design, bien que bien travailler, m'a déplu avec ses traits arrondis typique des années 80.
J'aperçois également les différentes critiques sociétales que pointe cet anime en en faisant une oeuvre d'anticipation.

Mais à vrai dire, contrairement à la grande majorité, je n'ai pas vraiment accroché avec ce manga, que je n'ai pas lu par ailleurs. J'ai eu un sentiment de malaise et de déprime tout du long: est-ce l'aspect très sombre et désenchanté de cet anime...sûrement.
La fin du film souffre d'une flagrante longueur.
Je n'ai pas réussi à m'attacher, ou du moins à m'identifier aux personnages ni à me sentir concerné par les mésaventures des deux protagoniste, notamment Tetsuo: j'ai surtout eu du mal à suivre et accroché avec l'aspect scientifique.

Je suis donc intéressé par votre vision et compréhension de l'anime. Peut-être suis-je passé à coté de quelque chose d'essentiel.

Re: AKIRA

MessagePosté: 25 Jan 2014 23:14
par Kemono
Faut comprendre que l'impact d'Akira à l'époque c'était bien avant-gardiste: sombre à souhait, un fond assez horrible...

Cela reste un chef d'oeuvre, mais faut se re-situer dans l'époque pour comprendre.

C'est comme des vieux films comme 2001 l'odyssée de l'espace ou le tout premier Halloween, actuellement, ces perles perdent de leur impact mais à l'époque, c'était des bombes...

Re: AKIRA

MessagePosté: 26 Jan 2014 01:52
par C8H10N4O2
Kemono a écrit:Faut comprendre que l'impact d'Akira à l'époque c'était bien avant-gardiste: sombre à souhait, un fond assez horrible...


Akira a représenté un choc à sa sortie en occident parce qu'on s'est rendu compte d'un seul coup que la japanime c'était plus que seulement les abominations qui nous avaient été servies jusque là, qu'il y avait autre chose que les Saint Seyia, Dragonball et Hokuto no Ken.

Une sorte de précurseur qui ouvrait la voie qu'emprunteront quelques années plus tard GitS et EVA.

Re: AKIRA

MessagePosté: 26 Jan 2014 06:17
par vb2n

Re: AKIRA

MessagePosté: 26 Jan 2014 06:21
par wagram
juste une precision a ce que tu dis (en plus tu as du connaitre le film a sa sortie ce qui permet justement d'apprecier le contexte qui est tres important pour comprendre le cote "critic-proof" qu'a Akira) : Akira n'a pas ete simplement un choc a sa sortie (je crois que c'est le premier film d'animation sorti en salles officiellement en occident et rester en salles tres longtemps, meme les miyazaki ont du attendre finalement recemment pour sortir en salles de facon recurrente) mais il reste une oeuvre extremement impressionnante (je lui prefere GITS pour des raisons persos).

je dis "il reste", pas "il etait novateur ... et bon depuis on fait mieux tres regulierement". non on ne fait pas mieux (ou plutot aussi bon) tres regulierement. pour reprendre une analogie que j'ai lu, c'est le Citizen Kane de l'animation (c'est exagere, c'est pour la reference 8) ). il etait et reste novateur, il a une athmosphere et un souffle intact qui renvoie a des symbolismes et des sentiments eternels. ce n'est pas juste une (incroyable) prouesse artistique, je ne regarde jamais ce film d'un air detache en bouffant du popcorn, je m'immerge dedans en jouissant chaque minute !

la je suis un peu biase car je n'ai jamais cache que j'avais une sincere adoration pour le dessin "analogique" et Akira avec GITS releve d'un travail qui, 25 ans apres, reste abso-lument sublime. c'est renforce par une musique que je n'ai jamais oublie (les chants !) et que j'ecoute separement de facon reguliere (je regarde Akira au moins 1 fois par an, pas par obligation inflige mais par manque) ainsi qu'une ambiance unique qu'honnetement j'ai du mal en partie a expliquer. je pense sincerement que lui et d'autres (Caf les mentionne : GITS, EVA, je pense aussi a Cowboy Bebop qui forme simplement a eux 4 un quatuor fabuleux du 20ieme siecle et que je considere comme au dessus de la majorite de ce qui a ete fait depuis) sont devenus intemporels. ce n'est pas de la nostalgie (ce n'est pas mon epoque) et la tres grande majorite de mes 9/10 sur MAL sont posterieurs a ces oeuvres donc me cherchez pas dessus :wink:

et lisez le manga nom de dieu (meme si le film n'est pas une version "allege" ou "reduite", c'est separe dans le sens ou il se suffit a lui meme) qui a eu une superbe edition francaise en plus ! de plus son anciennete permet de piocher des millions de mots, analyses ecrites dessus depuis (notamment le symbolisme sur tokyo, les JO, le monstre/bebe, l'adolescence, le parcours de tetsuo, le groupe d'ado et leur evolution, la revolte, la societe, la bombe, les experimentations, blabla y'a a manger) et qui montrent l'impact de ce film (mais moins delirant que les interpretations sur EVA :mrgreen: ) evidemment il ne faut pas tomber (ca arrive regulierement) sur le pro a mort (akira masterpiece, ta gueule y'a pas a discuter) et le anti a mort (akira has been ou trop hype, ras le bol du passe)

bref incontournable et pas pour rien

P.S quitte a lancer le sujet tu aurais pu faire un peu plus detaille comme le plot, les persos, le staff, la reception, sa genese, les influences des 80s, le contrepoint du manga, ton analyse perso, etc. je sais bien qu'Akira semble etre la depuis la nuit des temps mais ca n'excuse pas c'est Akira bordel :|

Re: AKIRA

MessagePosté: 26 Jan 2014 06:41
par Ash!!
vb2n a écrit:Moi, je dis doublon http://forum.animeka.com/viewtopic.php?t=3334.

J'ai repéré ce topic, mais c'est différent puisqu'il parle d'un film live d'Akira (qui n'est jamais sorti) et non pas du film d'animation.

Sinon je vais attendre de me revoir le film avant d'expliquer pourquoi ce film est culte, enfin wagram a déjà développer plusieurs points donc il y aura sûrement des répétitions, personnellement je considère Akira comme le meilleur film d'animation mais sans pour autant être mon préféré, c'est donc avec un minimum d'objectivité et surtout un grand respect que je le place sur un piédestal.
Techniquement il a vieilli, mais de la même manière que Star Wars a vieilli, il n'en reste pas moins impressionnant techniquement encore aujourd'hui.

Sinon le manga vaut effectivement le coup, le film ne reprend que les 2 (ou 3 ?) premiers tomes, et par manque de temps ce précipite sur la fin, Akira a un rôle très important dans le manga et les divers thèmes comme la guerre et la course à l'armement sont bien plus développé.

Re: AKIRA

MessagePosté: 04 Fév 2014 10:29
par Chise
J'ai revu récemment le film en version 25ème anniversaire et malgré son âge il reste impressionnant et très bien réalisé et l'OST notamment pour accopagner les scènes avec Tetsuo et Akira est toujours aussi bonne.

Pour moi ça reste un grand classique et une oeuvre fabuleuse.

Re: AKIRA

MessagePosté: 04 Fév 2014 14:07
par kthulu
Ahhh tiens, mon ancien post n'est plus.
Donc je vais essayé de faire un résumé car pour moi si Akira reste un grand film, je l'ai connu après le manga.
Et donc vu comment la manga a été tronqué (comment en aurait-il pu être autrement d'ailleurs) pour accouché d'un film 2 heures environ, j'ai été déçu malgré les qualités intrinsèques du film.
La femme n'a plus autant de place dans le film en terme d'espace occupé et de rôle important (cf key, chiyoko, miyako).
Toute la partie après le tome 3 (sur les 6 tomes) est quasiment occultée ainsi que tout les thèmes développés durant ces 3 tomes manquants.
Au final, ce film est une mise en bouche pour lire le manga qui est beaucoup plus complet et poussé (ce qui est normal).
D'ailleurs contrairement à Wagram, c'est le manga Akira que je lis une à deux fois par an, vu que l'anime ne me manque pas vraiment même si lors des visionnages, je le trouve sympa.

Re: AKIRA

MessagePosté: 04 Fév 2014 15:55
par wagram
kthulu a écrit:Au final, ce film est une mise en bouche pour lire le manga qui est beaucoup plus complet et poussé (ce qui est normal).
D'ailleurs contrairement à Wagram, c'est le manga Akira que je lis une à deux fois par an, vu que l'anime ne me manque pas vraiment même si lors des visionnages, je le trouve sympa.

c'etait l'evidence pour moi mais j'enchaine toujours le manga derriere ^^ (et dans ce sens jamais le contraire), c'est comme le kinder surprise quand tu vois les 14 tomes :love: et comme tu le dis justement tous les elements que n'abordent pas le film (mais qui ne l'empeche pas d'etre coherent, c'est sa force) autant parce qu'ils sont peu (ou a minima) developpes (la relation tetsuo-akira-kaori, key et son orga key et tetsuo, nezu et sa conspiration, etc.) soit carrement absent (la flotte US, le commando, miyako n°19 et la guerre vs tetsuo = la partie tres longue empire of akira, kaneda/joker, le passe des specimen).

le film donne l'impression (reussie a mon sens) d'une course sans pause vers la fin alors que le manga a plusieurs fois (le nombre de fois ou on essaye de tuer tetsuo :lol: ) des fins "intermediaires".

bref c'etait pas clair forcement mais le film est une oeuvre majeure du fait des elements cites precedemment mais le manga est de facon assez consentuelle un des meilleurs jamais ecrit et meme si on n'aime pas trop le genre, j'ai beaucoup de mal (la je perds mon objectivite) avec les gens qui n'ont jamais vu/lu akira (pareil pour GITS).

Re: AKIRA

MessagePosté: 04 Fév 2014 16:05
par C8H10N4O2
Quand on compare Akira -le film- et Akira -le manga-, il y a 2 choses à ne pas perdre de vue.

D'une part, Otomo n'avait pas encore terminé le manga quand il a mis le film en scène. D'autre part, une adaptation scrupuleuse du manga nous aurait livré un film de 5 à 6 heures.

Après, je ne suis pas certain que ce qui fonctionne en support papier fonctionnerait toujours quand on met les images en mouvement. Quand on passe d'un média à l'autre, il y a des modifications à faire. Ce n'est pas pour rien qu'on parle d'adaptation, et pas de transposition.

Après, à la différence d'un Yartrub, je ne suis pas de ceux qui pensent qu'une fois projetée une oeuvre cesse d'appartenir à son auteur. Otomo était parfaitement en droit d'adapter son propre manga de la manière dont il l'entendait.

Re: AKIRA

MessagePosté: 04 Fév 2014 16:11
par wagram
C8H10N4O2 a écrit:Quand on compare Akira -le film- et Akira -le manga-, il y a 2 choses à ne pas perdre de vue.

D'une part, Otomo n'avait pas encore terminé le manga quand il a mis le film en scène. D'autre part, une adaptation scrupuleuse du manga nous aurait livré un film de 5 à 6 heures.

tout a fait d'accord, je ne vois pas (ou peu) l'interet (a part pour l'exercice) d'adapter le manga et je suis tres content de la decision artistique prise pour le film (brutale mais efficace). c'est juste qu'il est important de signaler cette caracteristique importante de l'oeuvre akira car malheureusement on a une generalisation (surtout actuellement) de serie anime faite juste sur les premiers tomes d'un manga (souvent encore en cours de redaction) et qui donc s'arrete avant la fin. ici ce n'est pas le cas, ce sont deux exercices separes et auto suffisants. le film = 1988 (il a donc du etre prepare en amont voire quelques annees avant), le manga = 1982-1990 pour etre precis.

Re: AKIRA

MessagePosté: 04 Fév 2014 22:05
par Ash!!
Je me suis revu le film, ça doit faire 3 ans que je ne l'avais pas revu, déjà techniquement c'est toujours une baffe pour moi, la plupart des films de nos jours donnent l'impression d'ajouter un filtre par ordinateur qui donne un aspect très propre, personnellement je n'en suis pas fan et voir Akira m'a fait rappelé pourquoi, je ne suis pas sûr de comment le décrire mais il y a un aspect authentique que perdent les nouvelles productions, et c'est valable dans l'animation en général pas que pour les films.
Mon prof de cinéma disait toujours d'Akira que c'est un film à voir en VO sans sous-titre, bon évidemment c'est facile pour lui puisqu'il parle japonais, mais en revoyant le film j'ai compris ce qu'il voulait dire, il se passe tellement de chose à l'écran que l'on rate en lisant les sous-titres.

Ma surprise par contre fut sur la seconde moitié, j'avais oublié qu'il y avait autant d'action non-stop, à l'époque c'était la parti que je préférais mais avec l'âge je me vois pencher sur la première parti, découvrir ce monde post-apocalyptique, la bande de Kaneda, ses "enfants" aux pouvoir mystérieux, mais je ne peux m'empêcher d'être vraiment déçu par ce changement d'Akira (le personnage) par rapport au manga, mais c'était ça ou une fin ouverte à terminer avec le manga comme le font beaucoup de séries. Finalement c'est mieux ainsi, ceux qui ne verront que le film auront une fin et ceux qui liront le manga auront une histoire alternative (beaucoup) plus complète.

Re: AKIRA

MessagePosté: 05 Fév 2014 13:07
par kthulu
C8H10N4O2 a écrit:D'autre part, une adaptation scrupuleuse du manga nous aurait livré un film de 5 à 6 heure

Je me doute très bien qu'adapté la manga en un film n'était pas possible vu la densité des informations que l'on a dans la manga. Et encore que 5-6 heure cela me semble un peu juste pour tout mettre dedans.
Je trouve de manière objective que l'anime est un chef d’œuvre même si subjectivement, il ne me botte pas plus que cela. Ce qui ne m’empêche pas de l'avoir en version collector d'ailleurs.
C8H10N4O2 a écrit:Quand on passe d'un média à l'autre, il y a des modifications à faire

Je suis d'accord mais c'est le premier anime que j'ai regardé et qui avait des modifications si drastiques par rapport au manga. Quand j'ai vu la fin je me suis dit : "On s’arrête là?!" car pour moi la meilleurs partie du manga est la seconde moitié.
Au moins, l'adaptation est de qualité contrairement à celle du Bouddha d'Ozamu Tezuka. ^^

Re: AKIRA

MessagePosté: 05 Fév 2014 18:10
par Gally
Extrait de Histoire et Univers de la bande dessinée japonaise J-M.Buissou, chez Picquier
(Contient du spoil)

Spoiler :
Apocalypses New Age:
AKIRA (1982-1990)

Dans les années 1980, le post-apocalyptique japonais change d'âme entre les mains de la "Génération Otomo". Ces baby-boomers tardifs (nés au milieu des années 1950) n'avaient aucune mémoire directe de la guerre; ni les grandes luttes sociales et politiques de l'après-guerre, ni les duretés de la reconstruction ne les avaient marqués; leur souvenir d'adolescence le plus vif était l'échec de leurs frères aînés en 68. A la lumière de cette expérience, ils font du post-apocalyptique un univers au sens brouillé, visité par les fantasmes New Age, où les certitudes se sont évaporées et les héros errent dans la confusion.

La série emblématique de cette métamorphose est Akira. L'ancien voyou Kaneda, auquel est dévolu ce rôle, n'est plus qu'un pâle reflet du héros positif à l'ancienne. Il erre dans les ruines de Néo-Tokyo en poursuivant obstinément des buts personnels dérisoires à l'échelle du cataclysme: venger ses camarades Bosozoku* massacrés par le mutant Tetsuo, embrasser Kay.. Les groupes sont détruits, à commencer par la bande de motards de Kaneda, et les liens d'amitié rompus. Tetsuo, le mutant meurtrier qu pourrait faire sauter la planète, n'est qu'un gosse malheureux qui rêve de retourner se blottir dans les bras de la mère qui l'a abandonné. L'immature Kaneda partage inconsciemment ce rêve dans ses relations avec les femmes (Kay, jeune Jeanne d'Arc made in Japan, son pygmalion Lady Miyako, et Chiyoko, la guerrière maternelle) qui s'avèrent toutes plus fortes que lui dans l’épreuve. Les efforts organisés pour reconstruire ce qui peut l'être échouent lamentablement, à l'exemple de la communauté humanitaro-bouddhiste de Lady Miyako. Le défi final lancé à la communauté internationale par le "Grand Empire d'Akira" ressemble à un caprice d’adolescents, et à la dernière image, la reconstruction du monde n'est qu'un rêve- à moins que le lecteur n'en décide autrement dans son fort intérieur.

*Bosozoku: voyous motards, version japonaise des Hells Angels.

[...]

Pour autant Akira n'est pas démoralisant: il est même dynamique, tant Otomo fait de son récit un tourbillon haletant. Il masque (ou souligne?) le vide de sens par une action au rythme frénétique et par la multiplication des significations possibles pour son récit, de l'antimilitarisme à l'anti-américanisme en passant par la religiosité humanitaro-bouddhiste, dont il importe peu qu'elles soient autant de fausses pistes dès lors qu'elles ont rempli leur office en occupant à tour de rôles l'esprit du lecteur. Pour couronner le tout, Otomo convoque un bric-à-brac New Age où se mêle une mystérieuse autre dimension, les mystères de l'ADN et l'évocation floue d'un stade supérieur que l'Humanité mutante pourrait atteindre... En ce sens, le succès d'Akira n'est plus le fait d'une génération qui serre les dents en refusant de céder au désespoir, comme dans Gen d'Hiroshima, mais celui d'une jeunesse qui veut être distraite de ses illusions.


Dans ce chapitre du livre, avant cette partie qu'il nomme " l'Apocalypse New Age" consacré à Akira et également à Nausicaä de la vallée du vent (1982-1994) de Hayao Miyazaki, il cite Gen d'Hiroshima (1973-1984) de Keiji Nakazawa, partie intitulée "l'Apocalypse-Renaissance" puis "L'Apocalypse Contestataire" avec L'école Emportée de Kazuo Umezu (1972-1974) et Violence Jack (1973-1978) de Gō Nagai.

Edit: fautes de frappe.

Re: AKIRA

MessagePosté: 05 Fév 2014 20:24
par Syaoran
Juste pour information, nous avons un article très complet (en trois parties) écrit par Guilhem sur Akira:
http://www.animeka.com/articles/akira-2 ... es-p1.html
http://www.animeka.com/articles/akira-2 ... es-p2.html
http://www.animeka.com/articles/akira-2 ... es-p3.html

Re: AKIRA

MessagePosté: 05 Fév 2014 20:49
par vb2n
Bien que J-M Buissou soit aujourd'hui assez critique envers Akira, préférant Miyazaki, c'est pourtant cette œuvre qui lui a fait découvrir le manga http://www.japonline.com/jfra/eterv/bouissou.asp. Vu une fois Akira au Centre Pompidou. Normalement, la séance devait être présenté par J-M Bouissou, remplacé par quelqu'un de Catsuka. Je venais autant pour lui que pour le film (vu que son avis m'en donne une impression assez négatif, c'est à dire qu'Akira, c'est la révolution self service. Trop de symbole tue le symbole.