Dans un monde semblable à la Chine au IXe siècle av. N.E., deux peuples existent : d'un côté les simples humains et de l'autre les Immortels, des individus dotés de pouvoirs surnaturels et d'une durée de vie immense. Habitant les Monts Kun Lun, des montagnes flottant dans les airs, ces êtres ne sont pas sensés se mêler au commun des mortels. Pourtant, la vie de cette contrée bascule lorsque Daji (Dakki), une maléfique enchanteresse au visage humain, parvient à envoûter l'empereur Chou, de la dynastie Yin, et à faire de lui son pantin. Le pays se trouve dès lors plongé dans la misère et la famine tandis que la démone et ses disciples mènent un train de vie fastueux. Excédé, Tien Son (Genshi-Tenson), le chef des dieux, appelle son "jeune" apprenti, un druide déjanté doublé d'un fin stratège, dénommé Taikun (Taikobu). Ce dernier reçoit pour mission de capturer les âmes des 365 démons, des Immortels pervertis au service de Daji, et de les enfermer dans le Houshin Dai (une sorte de monde parallèle d’où ils ne pourront plus interférer avec celui des humains). Accompagné de son animal sacré Spushan (Supushan), notre héros sera rejoint, au cours de sa longue quête, par d'autres guerriers de fortune : Naza l'androïde, Coup de Tonnerre (Raishinshi), un jeune homme au caractère bouillonnant, Fun-Tempa (Kou-Tenka), le fils d’un des plus grands généraux de la dynastie Yin, et Yang-Toe (Youzen) qui a le pouvoir de prendre n'importe quelle apparence...
-Bubu-
Alalal que de souvenir. Voilà une ré-adaptation à laquelle je ne m'attendais pas. Déjà, je pense que c'est la première fois que l'on a une adaptation qui ne change rien au niveau du scénario contrairement à FMA Brotherhood qui empruntait au bout d'un moment un chemin différent.
Alors pour les plus jeunes, Hoshin était dans les années 90 le monument shonen avec Shaman King et Hunter x Hunter. Naruto n'existait pas encore quand le premier tome d'Hoshin est sorti dans nos librairies. C'est un bon shonen qui marque de par son personnage principal, une renarde peu scrupuleuse et faisant les pire atrocités. Là ou on voit que le manga m'avait marqué c'est que je me souviens vraiment de tous les personnages principaux qui étaient pour l'époque particulièrement charismatiques.
Sur l'adaptation, on sent que celle-ci va plus vite que la première, niveau animation c'est correcte mais pas non plus éblouissant. Bref, ça permet de remettre au gout du jour un vieux shonen culte.