Toshokan Sensou

[allbrice]

Bilan satisfaisant pour Toshokan Sensou malgré les quelques interrogations qu'elles laissent en suspens à travers la légèreté de son récit. OSEF, ce n'est pas tous les jours que l'on rencontre un animé qui s'attaque à la liberté d'opinion, de ce fait cette œuvre est un grand pas pour la japanimation à mon avis.

La camomille, symbole de la force dans l'adversité

[Ozymandias]

"Bon anime" dans la mesure où il m'a bien distrait, mais il faut admettre que ça reste assez léger un peu dans tous les domaines : l'humour, l'action, la psychologie des personnages, l'intrigue et la romance, tout est là mais ça reste vraiment trop juste ou limité.

Bref, je suis assez d'accord avec les analyses écrites ici, je résumerais juste en disant : pas assez d'ambitions et on passe à coté de quelque chose qui aurait pu être vraiment un excellent anime.
J'ai même retrouvé au début un soupçon de Sousuke/Kaname dans le duo Kasahara/Dojo, mais là encore ça n'a pas décollé.

Toshokan Sensou reste un bon divertissement qui se voit vite et bien, de plus c'est du grand publique (me souviens pas avoir vu une seule goutte de sang), mais n'est decidemment pas un Must See



ps : Un point m'a échappé mais concernant la seule révélation du scénario

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[Crash]

Je viens de finir cette série que j'avais laissé de côté il y a un an étant un peu déçu du manque de profondeur apparent dans le traitement du sujet de fond.

Une fois cette déception passée (forcément après un an...) l'anime se croque à pleine dent. Certes il y a un manque de profondeur général, certes certaines questions sont laissées sans réponse mais le chara-design (et certains plans qui reprennent les traits de la BD), les relations entre les personnages, les décors, l'animation sont tels que franchement je n'en n'avais plus rien à cirer.

Bref je n'ajouterai rien de plus car les commentaires précédents sont plutôt bien développés et que je voulais juste donner mon sentiment sur cette série !

[Gally]

Il m'est impossible de ne pas réagir sur la comparaison faite plus haut entre le couple Chiaki-Nodame (nodame cantabile) et Dojo-Kasahara. A part le fait qu'ils se tiennent tête de temps en temps, il n'y a aucun autre rapport entre ses deux couples.
Chiaki est un personnage intransigeant, Dojo est plus compatissant, Nodame est fantaisiste et discrète, Kasahara est maladroite et hystérique.

Les seuls points positifs que j'ai relevé de cette série sont la référence au livre "Farenheit 451" de R.Bradbury ainsi que la relation plus subtile entre l'amie et le collègue de Kasahara, qui se confirme dans Le film.
Sinon c'est léger, pas traité en profondeur, des personnages laissés à l'abandon, un humour plat, crétin.