Ore no Imouto ga Konna ni Kawaii Wake ga Nai

Je vous traduis vite fait le titre en français : "Cela ne me sied guère d'envisager la possibilité que ma modeste soeur cadette puisse être aussi adorable".

Ore no Imouto ga Konna ni Kawaii Wake ga Nai
Synopsis : Kyousuke, résolu à rentrer dans le moule et à mener une vie minable dénuée d'intérêt, découvre que sa petite sœur Kirino, avec laquelle il a du mal à s'entendre, possède une passion pour les animés et les eroge : démasquée, celle-ci se trouve bien évidemment embarrassée, la tolérance de la société nippone lui promettant d'abréger sa vie sociale si ces informations étaient mises au jour ; elle va ainsi conclure un pacte avec son frère afin de garder le secret. Fougueuse, elle en profitera pour lui faire croquer le fruit défendu (je parle des eroge).
Je m'attendais à une insondable daube, ce premier épisode n'est finalement pas minable du tout.
Le personnage principal nous rappellera un peu les héros du studio Shaft, à savoir un je-m'en-foutiste cynique qui a déjà abandonné tout espoir. Kirino, quant à elle, incarne la petite sœur qu'on rêve tous de ne pas avoir : chiante, capricieuse et superficielle ; son côté Otaku représente son talon d'Achille : je prie pour que l'animé nous la montre démasquée, honteuse et pointée du doigt.
Bien que les aliens de 2chan semblent penser le contraire, la voix de la seiyū Ayana (Azusa) sauve l'animé du
naufrage : son timbre naturellement doux permet de contrebalancer la fougue de son personnage, rendant ainsi le tout supportable.
La réalisation est d'excellente qualité pour le style ; l'animation est fluide et le chara-design, bien ancré tout de même, possède sa particularité. J'ai malgré tout peur pour la suite, pouvant tout aussi bien confirmer ce sympathique départ que se casser superbement la gueule, ce ne serait pas la première fois.

Ore no Imouto ga Konna ni Kawaii Wake ga Nai
Synopsis : Kyousuke, résolu à rentrer dans le moule et à mener une vie minable dénuée d'intérêt, découvre que sa petite sœur Kirino, avec laquelle il a du mal à s'entendre, possède une passion pour les animés et les eroge : démasquée, celle-ci se trouve bien évidemment embarrassée, la tolérance de la société nippone lui promettant d'abréger sa vie sociale si ces informations étaient mises au jour ; elle va ainsi conclure un pacte avec son frère afin de garder le secret. Fougueuse, elle en profitera pour lui faire croquer le fruit défendu (je parle des eroge).
Je m'attendais à une insondable daube, ce premier épisode n'est finalement pas minable du tout.
Le personnage principal nous rappellera un peu les héros du studio Shaft, à savoir un je-m'en-foutiste cynique qui a déjà abandonné tout espoir. Kirino, quant à elle, incarne la petite sœur qu'on rêve tous de ne pas avoir : chiante, capricieuse et superficielle ; son côté Otaku représente son talon d'Achille : je prie pour que l'animé nous la montre démasquée, honteuse et pointée du doigt.
Bien que les aliens de 2chan semblent penser le contraire, la voix de la seiyū Ayana (Azusa) sauve l'animé du
naufrage : son timbre naturellement doux permet de contrebalancer la fougue de son personnage, rendant ainsi le tout supportable.
La réalisation est d'excellente qualité pour le style ; l'animation est fluide et le chara-design, bien ancré tout de même, possède sa particularité. J'ai malgré tout peur pour la suite, pouvant tout aussi bien confirmer ce sympathique départ que se casser superbement la gueule, ce ne serait pas la première fois.