Synopsis animeka :
En fouillant dans son grenier, le jeune Hikaru découvre un jeu de go, habité par l'esprit d'un ancêtre, un excellent joueur des temps anciens. C'est le début d'une nouvelle passion pour le jeune garçon, épaulé par les conseils tactiques d'une éminence grise vieille de plusieurs siècles. Mais, si les règles sont les même qu'auparavant, les adversaires ont changé et leur style de jeu a évolué. À moins peut-être qu'Hikaru ne soit pas aussi néophyte qu'il n'y paraît... Avis :
Lors de ça sorti, c'était l'une des séries les plus populaires, j'entendais souvent dire que même si on ne connait rien au go, ça reste captivant, mais j'avais déjà entendu la même chose concernant Akagi et je n'avais pas accroché, mais bon après tant d'années j'ai finalement décidé de laisser une chance à Hikaru No Go.
J'ai donc fini la série, et j'avoue qu'ici, malgré que je ne rien pigeais au go, j'ai beaucoup aimé. C'est vraiment addictif et j'enchaînais les épisodes sans m'en rendre compte, bizarrement je peux difficilement expliquer ce qui m'a autant attiré, je prenais juste plaisir à suivre l'évolution de Hikaru, et j'ai aussi beaucoup aimé Sai qui est un personnage attrayant, très intense mais qui apporte aussi pas mal d'humour.
Une excellente surprise donc, et si 75 épisodes peuvent paraître longs, ce n'est à mon avis pas assez, d'ailleurs je trouve la fin abrupte donnant l'impression que l'on s'arrête à mi-parcourt, puis après un certain évenement majeur vers l'épisode 60, sans pour autant ne pas aimer j'ai perdu le plaisir que j'avais auparavant, j'ai continué le manga, l'anime s'arrêtant vers le chapitre 165 (en incluant l'épisode spécial de 75min) sur un total de 189 chapitres, mais malheureusement le manga ne fait pas mieux et l'on reste sur sa faim, bref très déçu concernant la fin de cette série, mais je conseillerai malgré tout de le voir, car au final ça en valait la peine et on devient tellement curieux sur ce jeu qu'est le go que l'on penserait presque à s'y mettre (d'ailleurs je suis sûr que de nombreuses personnes sont passés à l'action, et pas qu'au Japon).