Ça n'a jamais été la question ?Bref, un inspecteur compétent mis à l'écart dans la hiérarchie, ça ne me paraît pas irréaliste.
Ça n'a jamais été la question ?Bref, un inspecteur compétent mis à l'écart dans la hiérarchie, ça ne me paraît pas irréaliste.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Pour être crue, il faut quand même présenter un minimum d'éléments et paraître sérieux. Après tout, 3 numéro, ça pourrait être l'heure de l'explosion.BlastWizz a écrit:Heureusement, ce n'était qu'un préambule pour souligner la perspicacité de super-détective, le mec tellement obnubilé par ses pouvoirs de déduction qu'il se sent obligé de décrire son cheminement intellectuel au chef de la police plutôt que de lui révéler tout de suiteSpoiler sur :Quoi, quel sentiment d'urgence ?
BlastWizz a écrit:C'est quoi le rapport ? Je dis que la série cherche à impressionner le spectateur en lui étalant des déductions sous les yeux avant même de chercher à créer du suspense et du sens. Ça bavarde beaucoup trop pour pas grand chose.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Exactement. Mais c'est pas un problème de culture où d'intelligence : on n'a tout simplement pas les éléments pour répondre. Les personnages parlent, mais on ne comprend rien. Je considère ça comme le degré zéro de la narration. Déjà trois épisodes, et on ne sait toujours pas où on va. Par contre les clichés et les incohérences sont bien présents, ouf, on est en territoire connu.Malgré tout ce bavardage, je n'ai toujours pas compris le cheminement de nos deux adolescents, quel est leur but et le message transmis dans ces trois épisodes.
Il n'en sait rien. L'important c'est qu'il y ait danger, et que cette scène ne le reflète en rien. Il y a clairement des étapes en trop dans ce dialogue.Pour être crue, il faut quand même présenter un minimum d'éléments et paraître sérieux. Après tout, 3 numéro, ça pourrait être l'heure de l'explosion.
je ne vois pas en quoi l'échec de la série à instaurer un sentiment d'urgence (on parle de terrorisme, bon sang...) serait excusable
C'est aussi ce que je dénonçais dans la prise du plutonium de l'épisode 1, un événement qui ne prend sens qu'à l'épisode suivant - comment trouver pire façon de commencer une série ? Du coup on est obligé de faire l'effort de se rappeler la semaine d'après, de faire le lien par nous-même alors que ça devrait être limpide.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Par bon sens ? Pas question de "terreur", juste de la forme la plus élémentaire de suspense.Mais pourquoi ça devrait être un échec ?
Pourquoi cette série devrait forcément instaurer un sentiment oppressant d'urgence afin de bien faire ressortir la terreur du terrorisme ? La terreur face au terrorisme, c'est pour les politiques, les médias...
Là, c'est toi qui insulte le spectateur !
Des scènes dans le désordre ou simplement sans explication, j'en trouve dans bien des séries que j'adore comme Baccano ou Shinsekai Yori.
BW a écrit:Par bon sens ? Pas question de "terreur", juste de la forme la plus élémentaire de suspense.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
A moins qu'on finisse par nous dire par la suite qu'ils font partis d'une organisation qui agit dans l'ombre et aussi qu'ils ont été formés depuis tout petit et qu'il passe par une initiation ou un truc dans le genre, pourquoi pas ouais. Pour le moment, rien ne laisse présager cela. (Mais je l'espère.)
Quoiqu'ils ont des noms de code (Ten, Twelve).. c'est qu'un groupe a été formé non?
Sinon l'inspecteur, son passé et sa réintégration au sein de la criminelle est un schéma classique des séries américaines du genre.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Gally a écrit:J'imagine que tu parles des sujets d'actu quand tu emploies le mot "hype"?
Gally a écrit:J'utilisais ce mot, tu jouais encore au playmobil Kemono.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
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