collegue82 a écrit:bon moi j fait parti des gas ki on acroché ,meme si au debut j suis par avec 1 petit apriorie j me suis dit encore 1 truk a l eau d rose.
Certain s l cas 1 histoire amour impossible entre 2 étudiants dans 1 guerre dont personne ne veut et ne comprend ,j bien aimé l dilemme entre shuji ki m aime pas voir l gas mourir cas pour lui la vie est + important q tous et shise l arme ultime d son pays la grande chaucheuse! malgré elle! o finale j adoré meme si j sui reste 1 p con sur la fin j rein compris , a nom point d vue l homme a detruite sa planette a force d vouloir toujours etre l + fort!
Theotenai a écrit:J'ajouterai qu'on a vraiment l'impression que leur état naturel est en pleurs, et que du coup, moi qui ai la larme à l'oeil pour tout et n'importe quoi, dans l'Arme Ultime je n'ai pas même été ému une seule fois. Leur douleur qui a de quoi être bien réelle, est traitée avec tellement d'emphase que ça fini par paraître totalement superficiel.
Theotenai a écrit:J'ajouterai qu'on a vraiment l'impression que leur état naturel est en pleurs, et que du coup, moi qui ai la larme à l'oeil pour tout et n'importe quoi, dans l'Arme Ultime je n'ai pas même été ému une seule fois. Leur douleur qui a de quoi être bien réelle, est traitée avec tellement d'emphase que ça fini par paraître totalement artificiel.
Syaoran a écrit:Saikano dans sa deuxième partie montre la guerre. Pas une pseudo guerre comme on en a bien souvent dans la japanimation non.La vraie: celle ou tout est détruit, celle ou tu marches au milieu de ruines en voyant les cadavres de tes camarades démembrées. Vous dites que tout est en pleurnicheries mais franchement difficile de sourire dans une telle situation. Quand j'ai vu les images de la bande de Gaza je me suis mal vu voir des gens sourire alors que toute leur vie venait d'être détruite. Il n'y a pas toujours de l'espoir après la guerre et je pense que Saikano le montre vraiment bien.
jouant sur un sentimentalisme fleur bleu et donnant à la série un côté gnangnan plutôt que de jouer sur l'horreur implacable de la réalité. Je l'ai vraiment ressenti comme sonnant faux et décalé.
Theotenai a écrit:En situation réel, je doute fort que les gens soient en train de pleurnicher 24h/24h. Au contraire, c'est la désolation, la consternation, le sans espoir, un lacher-prise forcé qui anéanti et traumatise. Les pleurs incéssants des personnages font l'effet inverse, jouant sur un sentimentalisme fleur bleu et donnant à la série un côté gnangnan plutôt que de jouer sur l'horreur implacable de la réalité. Je l'ai vraiment ressenti comme sonnant faux et décalé.
. Moi je l'ai trouvé très émouvante."Chise me tape sur les nerfs à force de pleurer tout le temps"
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