
Screenshots (en spoiler pour les connexions bas débis)
Fiche Animeka : http://animeka.com/animes/detail/mahou-tsukai-natsu-no-sora.html
Le 1er épisode vient de "tomber" (diffusion sur TV Asahi Digital 5 le 2 juillet 2008, à priori 12 épisodes).
Je cite nos amis d'Anidb :
"Based on the Mahou Tsukai ni Taisetsu na Koto ~Natsu no Sora~ shounen manga by Yamada Norie and illustrated by Yoshizuki Kumichi, serialised in Shounen Ace in 2008.
The story is set in present day Tokyo. Much of the setting is based upon real areas, the more obvious ones being the Shibuya Crossing and Tokyo Tower. The main backdrop of the series where they all reside is in Shimokitazawa, roughly 6 minutes west of Shibuya on the Keio Inokashira Line. In Tokyo is the Bureau of Magic, which employs Mage Labour for certain special requests by everyday people. However, the mages must only use their magic with special permission, and any unlicensed use results in a penalty."
Dans la pratique, ce 1er épisode raconte la dernière journée de Sora Suzuki, jeune adolescente dans la campagne japonaise, qui vient d'apprendre son lieu d'étude pour devenir mage (on apprends plus loin que c'est Tokyo).
On sort de cet épisode avec un sentiment étrange et ceci pour plusieurs raisons :
- on arrive dans un petit lieu campagnard bien sympathique, bien détaillé avec des habitants tout à fait normaux (l'époque est actuelle) et dans la discussion, on parle de mage comme on parlerait d'aller au lycée à la "grande ville"
- le rythme est des plus calmes, la journée semble passer tranquillement dans ce cadre bucolique
- MAIS, si le fait de parler de magicien et d'un Bureau de la magie (on pensera à Rental Magica) ne paraissait pas déjà étrange, on se prend l'animation dans la tête

- visiblement le studio (le directeur est Osamu Kobayashi qui était en charge de l'animation sur Karas) a pris le parti pris d'un char design extrêmement simple) dans un décor quasiment photo réaliste (je pense même que ce sont des photos retravaillées) ce qui créé à la fois un sentiment de beauté mais quelquefois de bizarrerie (notamment dans des plans larges avec un décor quasiment de film et des personnages hyper simplifiés).