Ca change rien,
hole braïce (tu aimes l'italique et les caractères gras, pas vrai ?

), parce que tu es un occidental (eh oui, tu n'aurais pas du signaler ta position géographique sur la carte! AHAHAHAH).
Ta vision du vampire, donc, est celle de l'occidental moyen, as known as : les vampires sont des créatures sesky et ténébreuses, qui sucent le sang de leurs victimes en leur insufflant un orgasme concomitant à leur dernier souffle (car oui, sucer le sang des gens jusqu'à la dernière goutte tend à mener à la mort).
En tant qu'occidental moyen, quelles connaissance(s?) as-tu de l'image qu'a le peuple nippon du Vampire?
Ayant lu un nombre absolument indéfinissable (de par sa grandeur) de mangas traitant du sujet prélignement (farpaitement) cité, je peux t'affirmer que la vision du vampire par nos amis japonais est fort probablement très similaire à celle qu'en a Ann Rice (une parente peut-être ? ).
Ainsi donc, tu n'as pu qu'apprécier Vampire Knight, qui nous montre les vampires comme les froides et séduisantes créatures précédemment citées.
Les vampires bastonneurs, ce n'est qu'une chose inventée pour les gros lourds inaptes aux sentiments et au romantisme (*tousse*ricainspleindebière*tousse*) .
Blade est une daube, convenons-en tous .
Vampire Knight est un SHOUJO!!! Talaaaan! Il est donc fort compréhensible que tous ces messieurs vampires soient de dangereux bishounens, pleins de luxure rentrée et de SisCon plus ou moins assumé.
Dans son genre, cet animé est franchement réussi... Caaaaar, ce n'est pas Blade, c'est un shoujo! (re "talannnn")
Ainsi, tous les protagonistes sont beaux, seskys et (plus ou moins) dangereux. Ainsi, l'Humour (et j'insiste sur la majuscule) est forcément présent, le cas échéant nous tomberions dans un abîme de pathos et de dégoulinance de sentiments dégueus.
Ainsi, enfin, le vampire chevalier est il l'essence même du fantasme ultime de la jeune fille en fleur qui ne cherche que quelqu'un pour la bousculer (plus ou moins) seskuellement.
Bref. J'ai plus kiffé l'animé que le manga pour cette raison. C'est que, contrairement à la version papier, celui-ci (l'animé, donc), nous épargne (plus ou moins), le dégueulis pathétique précité.