« Êtes-vous déjà tombés amoureux ? » Ça commence bien avec cette première phrase qui donne directement le ton général de l’anime : à l’eau de rose et niais. Cette première impression se confirme très vite, à commencer par les voix des personnages féminins qui semblent toutes avoir 10 ans, bien qu’elles soient des collégiennes. L’histoire est quasiment inexistante, on se contente la plupart du temps de suivre les états d’âme de gamines et de gamins (« Dois-je sortir avec lui ? Que dois-je lui répondre ? Pourrais-je me marier avec lui ? J’aimerais bien être demandée en mariage ! / Comment lui déclarer ma flamme ? Ouah ! Elle est trop canon ! Est-ce que j’ose lui tenir la main ? »). Chaque épisode est consacré à un personnage en particulier, où l’on verra plus en détail ses sentiments. Hatsukoi se traduit par premier amour. Pas de surprise donc, tout était dans le titre.
Côté graphisme, vous remarquerez que beaucoup d’images sont entourées d’un halo blanc ou d’un fond blanc. Effet de style pour donner une impression de légèreté ? Possible, mais cet effet ne semble pas suivre de logique particulière… On dirait plus que c’est pour éviter de dessiner les décors ! Les graphismes laissent une impression d’ensemble de travail non terminé. À moins que les coloristes aient été en grève à ce moment… L’animation est elle aussi réduite au minimum : souvent, vous remarquerez que seule la bouche du personnage qui parle bouge dans l’image, les autres éléments étant totalement immobiles. Au niveau du chara-design, les visages sont assez ronds et lisses – ce qui est loin d’être déplaisant – et sinon, petites culottes et poitrines généreuses sont au rendez-vous. Mais attention, ne vous faites pas d’illusion, Hatsukoi Limited n’est pas pour autant un anime ecchi : même si le sujet parle d’histoires d’amour, seuls les sentiments sont mis en avant.
Bon, vous l’aurez compris, on s’ennuie vite, en particulier dans les 3-4 premiers épisodes (sur 12). Ça s’améliore dans les derniers épisodes, autant sur le plan graphique que sur le plan de l’histoire qui évolue un peu. Mais comme on pouvait si attendre avec un rythme qui trainent en longueur, on restera sur sa faim au douzième épisode. Bref, un anime à l’eau de rose loin d’être incontournable à réserver aux fans du genre. De la même auteur, préférez Ichigo 100% qui est plus dans le style ecchi mais est bien plus dynamique et plaisant à regarder, comparativement à Hatsukoi Limited.
C'est donc la critique de cet animé...
Personnellement, je suis pas assez fort pour faire ce genre de travail. De plus il y a des gens qui sont censés fait être pour ça !
Mais quand je regarde cette critique, ça ressemble plus à un avis qu'à autre chose (comme beaucoup d'ailleurs). Enfin bon.
Et je me demande si ceux qui ont "pondu" les tags ont pas oublié un tag du genre "AMOUR/AMITIE". Moi je dis ça comme ça. Après tout c'est pas mon taf non plus mais bon, appelons un chat un chat.
Moi j'ai plutôt aimé cet animé.
Je considère cet animé comme un mix entre Bokura ga ita (en moins sérieux), Joshikousei (en beaucoup moins trash), School Rumble (triangles amoureux loufoques) et aussi Pretty Face (papier). Malheureusement Hatsukoi limited n'arrivera pas à leur hauteur ; seulement 15,5/20 les trois autres ayant des notes plutôt remarquables : 17,5/20 BGI ; 18/20 HSG ; 17/20 SR. Un air de déjà-vu donc. Puis SR n'arrive pas à la cheville d'un Le collège fou fou fou 19/20
Certes on a des nanas niaises mais pas n'importe lesquelles non plus ou faites pour profiter de leur petite culotte. Toutes n'auront pas ce privilège notamment la sportive et l'artiste. Déjà un point de soulevé.
Ensuite bah oui ça ressemble fort du shoujo (c'en est même un d'ailleurs) mais il est bizarrement classé en... shounen (je pense que le manga doit être un peu plus explicite). D'ailleursd le papier paraît dans un magazine shounen. Néanmoins, c'est donc un animé assez versatile (très rare) qui séduira aussi bien le public féminin que masculin (pas pour rien que je fais référence à Joshikousei).
Place maintenant à "descendre" la critique faite sur le site.

Ben ouais le halo blanc c'est atypique des shoujos et dans les shoujos, il y a très peu de décors. C'est d'une logique !
Dans Minami-Ke aussi on voit que la bouche des personnages bouger.
Personnellement, je ne me suis pas ennuyé car chaque histoire est intéressante et il y a quand même une réflexion sur les sentiments de chacun.
Pas de scénario, ça on s'en fout carrément, c'est pas ce qui est montré !
Moi je ne suis pas resté sur ma faim.
Là oui en effet, il est loin d'être incontournable puisqu'il y a déjà des références dans le genre.
Voilà, mon coté rebelle s'est fait la part belle. Maintenant place à deux trois détails qui m'ont marqué mais atypique de ce que la japanimation fait.
La fille aux cheveux jaunes (Kei Enamoto, je crois). Un personnage complètement clicheté. Toujours à se la jouer supérieure aux autres à se croire la plus belle. Sawachika Eri est sa soeur jumelle !!!
Et enfin là non plus ça ne m'a pas échappé. Episodes 11 et 12
Quand nos trois gaillards ont décidé de partir à l'aventure pour se trouver. Lors de l'appel en classe vous avez rien remarqué ? Non ???? Ah ben dites moi...
Qu'est-ce qui est montré en plus de la place vide à chaque fois ???? Vous trouvez toujours pas ????
Hé ben, vous êtes sûr que vous connaissez la japanimation aussi bien que ça ? Du moins ses clichés ?
Aïe, ça veut tout simplement dire que vous êtes pas assez chevronnés et que vous regardez juste un animé pour le scénario... Eh bé. C'est très petit tout ça.
Bon, je vous fait pas languir plus longtemps, je vends la mèche.
Lors de ces trois images des places vides des garçons manquants, on voit la fille avec laquelle ils vont s'entretenir lors du raid sur la plage. C'était pourtant prévisible. Moi ça ne m'a pas échappé. Et ça m'a été confirmé lors du dernier épisode.
M'enfin bon.
On va pas en faire tout un fromage non plus.
Ah si, je rajouterai une chose : A bas les filles à fortes poitrine en maillot de bain (Joshikousei powaaaaaaaaaaa).
Récapitulons un peu tout ça.
Hatsukoi limited aurait pu avoir au minimum 17/20. Malheureusement, il y a eu déjà d'autres animés dans le même style et donc je ne peux pas lui mettre autant qu'un School Rumble. Il se contentera d'un 15,5/20 preuve que c'est tout simplement (pour moi) une valeur sûre de la japanimation.
Victime du syndrôme Chikane Himemiya.
Je ne sais pas, je ne comprends pas.