Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Yartrub a écrit:Ce côté meta, je ne l'ai pas vu, ou je n'ai pas voulu le voir.
Je suis d'accord sur beaucoup de choses qui sont ratés. Mais la dernière partie vaut quand même son pesant en cacahuète, j'achète et j'apprécie en sortant. Du très bon pop corn.
Eh bien ce JW a mis de réels efforts scénaristiques pour poser la question des dinos en 2015 et y répondre...mais Jurrassic World n'a pas réussi à me faire aimer les dinosaures dont il parle. La fin a même un gout de "c'était mieux avant" censé flatter certains d'entre nous: ça m'a braqué.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Yartrub a écrit:Or justement, le dernier arc m'a fait penser à l'ambiance qui ressort lors de la lecture de L'Écorcheur de Neal Asher.
Yartrub a écrit:On utilise la mot méta lorsqu'on veut intellectualiser quelque chose, car méta ça reste le préfixe utilisé dans métaphysique
La lecture est quelque chose de si personnelle que s'en est parfois très frustrant.
Je parlais du meta de meta fiction: JW fait dans l'auto-référence, pas tant au niveau des clins d’œils d'ailleurs que de toute cette critique sur l'entertainment, et la façon dont on pourrait vouloir gérer la licence Jurrassic Park, représenté par le parc dans le film. Tout ce machin, ses tenants et aboutissants constituent LA lecture du film.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
MIRAhidote a écrit:Moi j'aimerais bien aller voir Vice-Versa (ne me jugez pas....) mais il faut que je me trouve un alibi, c'est-à-dire un enfant qui viendrait avec moi pour faire genre je l'accompagne!
MIRAhidote a écrit:Je vois qu'ici ça parle de films épique et autres blockbusters!
Moi j'aimerais bien aller voir Vice-Versa (ne me jugez pas....) mais il faut que je me trouve un alibi, c'est-à-dire un enfant qui viendrait avec moi pour faire genre je l'accompagne!
J'ai toujours aimé les studios Pixar, même si leurs films sont plus dédiés à la jeunesse un adulte peut tout à fait les regarder, il y des propos intéressants dans leurs films, ce qui les rend divertissant peut importe l'âge.
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Yartrub a écrit:les adultes devraient y aller sans vergogne !
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
Philippe Jeammet a écrit:L'être humain peut avoir peur de ce qu'il désire le plus et faire le contraire de ce qui le rendrait heureux par peur du risque de la déception
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